jeudi 17 mars 2016

Nos maux viennent-ils du dérèglement alimentaire de nos animaux d'élevage ?

Nombreux sont les aliments qui ont perdu de leurs nutriments au fur et à mesure des années. Notre système d’industrialisation des aliments nous a conduits à un appauvrissement de ceux-là. Plus nous cultivons à haute dose, plus nous appauvrissons notre terre, plus nous sommes obligés d’apporter des nutriments, plus la plante s’affaiblit, plus de maladies, plus de pesticide et autre, et plus nous retrouverons dans nos assiettes des légumes « terre-Light », à haute teneur en produits phytosanitaires !


La perte de ces nutriments est également due à l’évolution des graines hybrides qui sont inventées pour toujours plus de rentabilité, mais en incluant dans le package leurs produits phytosanitaires, sinon ça ne pousse pas ! Il ne faut pas oublier que 90 % des Français consomment ces produits. Cette évolution touche également les produits tels que la viande, le poisson, les crustacés, etc. tout est transformé et sélectionné pour avoir un meilleur rendement au détriment de la qualité.
Un morceau de viande dans les années 50 équivaut en nutriments à deux morceaux de viande aujourd’hui. Deux fois moins de fer aujourd’hui, deux fois plus d’omégas 6 dus à l’alimentation céréalière des animaux (soja, maïs, blé) qui conduit aux problèmes cardio-vasculaires que notre société rencontre.
Dans les années 50 les animaux broutards tels que les bœuf, vaches laitières, chèvre, agneau, etc. se nourrissait principalement de fourrages et d’herbes en saison riche en oméga 3(combat les risques cardio-vasculaires). Les nutriments des oeufs également évolués et encore une fois dans le mauvais sens, dus au fait au changement d'alimentation des poules pondeuses. En effet, il y a encore à peu près 25 ans nous consommions plus d'œufs ou les poules ne se nourrissaient que de vers de terre sur le tas de fumier et de grains trouvés en bas silo, de limaces autour des jardins, etc. tous ces aliments sont fort en oméga 3 à acceptions du blé, de l'orge et maïs, qui aujourd'hui constitue quasiment 100 % de l’alimentation des poules.


Nous ne répéterons jamais assez, consommés en moins grosses quantités, mais de meilleure qualité. Privilégier la traçabilité de vos produits, posez-vous les bonnes questions avant de consommer et d’acheter, ne cherchez pas le moins cher et consommez saisonnier.

NOUS CONSOMMONS TOUTES NOTRE VIE !! ET LA VIE N'A PAS DE PRIX !!

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